12 étapes pour s’en foutre royalement du regard des autres

On se retrouve pour parler d’un sujet sur lequel vous me questionnez constamment, que ce soit sur les réseaux sociaux, en séance individuelle ou dans les cercles de femmes, vous me demandez tout le temps comment on peut faire pour ne plus avoir peur du jugement de l’autre. Donc aujourd’hui, je vais vous livrer les 12 étapes pour s’en foutre royalement du regard des autres. 

  1. L’importance de bien se connaître 

Pour pouvoir s’en foutre du regard des autres, je pense que c’est très important de très bien se connaître. De connaître la différence entre la confiance en soi, l’amour de soi, la vision positive de soi et d’avoir une source intarissable d’amour inconditionnel. 

Mais, pour pouvoir commencer à s’en foutre, on est obligé de créer des bases solides en termes de connaissance de soi. Quels sont mes points faibles, quels sont mes points forts, où sont mes manquements, est-ce que je manque d’estime, est-ce que je manque de vision, est-ce que je manque d’amour inconditionnel, est-ce que je manque de confiance en ma capacité à rebondir en cas de problème ? Ça va être déterminant, on ne va pas du tout travailler de la même manière, même si c’est la même thématique. 

Pour certaines personnes, ça va être : “Si je perds l’estime des autres je ne vais plus m’aimer moi-même parce que je cherche ma valeur dans le regard des autres.” Donc on va aller travailler sur l’amour inconditionnel. 

Pour d’autres personnes ça va plutôt être le doute concernant leur capacité à rebondir en cas de conflit : “Je n’ai pas confiance en mes compétences pour gérer un désaccord si je m’affirme et que l’autre pense que je suis qu’une grosse connasse de m’affirmer.” 

Donc on ne va pas agir de la même manière, c’est très important de faire ce bilan de départ. 

  1. Aller débusquer les mécanismes psychiques bloquants qu’ils soient conscients ou inconscients. 

On va parler entre autres des croyances limitantes. Ce sont des sortes de règles rigides qu’on construit dès notre enfance et c’est un filtre à travers lequel on voit le monde et nos propres limitations. 

On va avoir besoin d’aller déjouer des mécanismes qui se sont construits alors qu’on était très jeune. Parfois ce sont des mécanismes qu’on nous a transmis, qu’on a modélisé chez un parent par exemple. Et ça c’est très important parce que réciter des mantras de psychologie positive ça ne suffit pas. Tu peux essayer, ça fait du bien sur le coup, mais dès que tu vas être dans une situation où tu vas être obligé de t’exposer au regard de l’autre, tes mécanismes bloquants, tes mécanismes de protection, tes croyances limitantes vont venir te jouer des tours. Parce que le problème est beaucoup plus profond, il est dans la partie non visible de l’iceberg. 

  1. Aller faire la paix avec son passé. 

Souvent on réagit en tant qu’enfant intérieur blessé et on n’est pas connecté à notre enfant intérieur créateur. Parce qu’on a vécu des blessures et des microblessures relationnelles, affectives, dont on a à peine conscience, mais qu’on a gardé de notre enfance, qu’on a gardé de nos relations aux autres, que ce soit nos parents, nos figures d’attachement, ou même on a pu vivre des choses dans notre adolescence, notre vie d’adulte, et on a été marqués par ces événements de vie. 

On peut s’en vouloir, on peut développer de la culpabilité, de la honte. On peut complètement se déconnecter de ses émotions et pour pouvoir s’en foutre de ce que pensent les autres, il faut avoir fait la paix avec soi-même, avec nos propres erreurs mais aussi nos propres blessures. 

  1. Apprendre à s’aimer inconditionnellement. 

C’est très important parce que souvent, quand on s’inquiète de ce que pensent les autres de nous, de nos choix, nos affirmations, nos valeurs, nos postures, et bien c’est qu’on va chercher dans le regard de l’autre notre valeur. Est-ce que je suis quelqu’un d’aimable, est-ce que je suis légitime , est-ce que je mérite d’être aimée telle que je suis ? 

Il y a beaucoup de personnes qui se construisent en faux self, qui font comme si elles avaient confiance en elles, qui font comme si elles s’en fichaient du regard des autres, mais à l’intérieur, il y a quelque chose qui sonne faux ou qui fait atrocement souffrir. Et je pense que c’est important de développer cet amour inconditionnel de soi. 

Vous savez, c’est cette petite voix auto-critique l’intérieur de nous. Cette petite voix, on ne veut pas totalement la supprimer parce qu’elle vous veut du bien, elle veut que vous fassiez autrement quand vous rencontrez ce type de problème. Mais il faut venir l’adoucir, il faut recréer un dialogue intérieur avec une voix un peu plus compatissante et bienveillante. 

Pourquoi c’est important d’avoir cet amour inconditionnel de soi quand on veut s’en foutre du regard des autres ? Parce que quand on va commencer à s’affirmer, quand on va commencer à vraiment montrer notre vraie personnalité, et que les autres vont nous renvoyer pour certains qu’on reste aimable, qu’ils continuent de nous aimer, même en montrant ces facettes de nous, puis certaines personnes qui vont nous renvoyer que c’est naze. Si vous n’avez pas appris à développer cette voix de compassion, ça va être extrêmement difficile de pouvoir être en amour avec vous, même quand vous déplaisez à certaines personnes. 

Et c’est essentiel de pouvoir être en amour avec soi-même même quand on est invalidé par une ou plusieurs personnes. Et bien évidemment tu t’en doutes ça ne se fait pas en deux minutes. Ça s’apprend, il y a plein d’exercices, la pause d’auto-compassion, le journal d’auto-compassion, il y a des outils comme des trousses de secours “SOS, je me traite comme ma pire ennemie” et on va pouvoir aller travailler en hypnose pour aller guérir l’enfant intérieur mais aussi faire cette rencontre avec l’amour inconditionnel. 

C’est important pour se libérer du regard des autres mais c’est important aussi pour devenir indépendante émotionnellement. Si vous pensez souffrir de dépendance affective, cette thématique-là est incontournable. Parce que du moment où on s’aime et qu’on n’a plus besoin d’être validé par les autres, on peut tout oser, on peut tout se permettre, et surtout on peut sortir des relations qu’on gardait uniquement pour aller chercher de la valeur à nos propres yeux. Je vous laisserai réfléchir à ça. 

  1. Aborder la connaissance de soi à un niveau beaucoup plus avancé. 

Là, on va vraiment aller oser se regarder en face, aller regarder nos failles. Si bien que quand les autres vont venir pointer nos vulnérabilités, on sera totalement en paix avec elles. Parce qu’on va être capable de s’aimer avec nos vulnérabilités et nos failles. On va être capable d’avoir confiance en nous dans le fait qu’on est capable de rebondir si on est invalidé, critiqué, humilié. 

Et je crois qu’on peut vraiment construire un curseur où on va aller comprendre dans nos relations : Est-ce que ça nous porte ? Est-ce que ça nous énergise ? Est-ce que ça nous permet de grandir ? 

Parce que certaines critiques sont constructives et nous permettent de nous améliorer et puis certaines pas du tout, elles nous coûtent, elles nous blessent et elles nous entravent. Ça va nous permettre d’aller explorer ça et pour faire cette démarche-là, on va notamment travailler sur les biais connectifs, sur le fait de se reconnecter à ses émotions, à nos propres vulnérabilités et on va aller les dépasser pour en faire quelque chose de très beau plutôt que quelque chose de fragile. 

6. S’exposer au regard des autres. 

Pour en avoir rien à foutre de ce qu’on pense de nous, on va être obligé de s’exposer au regard des autres. On va être obligé d’ouvrir un peu de nous petit à petit. Bien sûr, on va choisir des environnements dans lesquels on s’est en sécurité, mais on est obligé d’y aller étape par étape.

J’ai des exercices à propos de ça où j’enseigne la méthode des petits pas à travers l’exercice de la spirale vertueuse ou l’exercice de l’escalier où on fixe des objectifs qui sont réalistes, réalisables, mesurables dans lesquels on se maintient dans une spirale de motivation, de succès, de vision positive de soi et ça permet vraiment de poser un pas après l’autre chaque jour. Si on reste chez soi, notre peur ne change jamais

Quand j’explique ça aux enfants… J’ai une métaphore, la métaphore du monstre derrière la porte et ça marche très bien avec les adultes aussi. 

Parfois vous êtes chez vous et peut-être qu’avec l’expérience, avec la vie, avec les épreuves que vous avez vécues, vous êtes enfermé à double tour chez vous. Vous avez mis plein de verrous à la porte parce que vous avez trop peur d’ouvrir la porte, trop peur de voir qui pourrait se cacher derrière. Sauf que, si vous entrouvrez un tout petit peu la porte, juste pour apercevoir qui est là. 

Soit vous allez voir qu’effectivement c’est un monstre et donc vous aurez mieux fait de lui reclaquer la porte au nez. Ou bien vous allez pouvoir vous apercevoir qu’il y a un ami derrière cette porte. Peut-être une belle rencontre, une belle épreuve, une belle expérience de vie. 

Sauf que si vous gardez la porte fermée, vous vous privez également de belles rencontres, vous vous privez également de belles expériences de la vie, ça serait dommage. 

Donc, on va apprendre à se réexposer petit pas après petit pas. Et comme vous serez dans cette spirale vertueuse vous allez aussi prendre confiance dans le fait que si jamais vous entrouvrez la porte, vous avez à tout moment la capacité de refermer la porte. 

Vous n’êtes pas obligé d’ouvrir la porte à un monstre, de l’inviter chez vous et de le laisser chier sur votre tapis de salon. Il est toujours temps de réagir. Tu as toujours le temps de mettre le monstre à la porte et de refermer la porte à double tour, autant que tu en as besoin, le temps de récupérer. 

7. Oser s’affirmer pas à pas. 

Pour en avoir rien à faire de ce qu’on pense de nous, on est obligé d’aller expérimenter ce qu’est l’affirmation de soi : exprimer ses besoins, exprimer ses limites, ses opinions. 

Tu vas te rendre compte que le monde ne s’arrête pas de tourner, il ne s’effondre pas quand tu t’affirmes, même quand ça peut déplaire à certaines personnes, en fait ça va, tu continues d’être une bonne personne. 

8. Prendre des décisions sans douter de toi-même. 

Et quand tu commences à t’en foutre du regard des autres, tu peux prendre des décisions sans douter de toi-même, sans avoir besoin de prendre l’avis de mille personnes, sans avoir besoin de remettre sans cesse à demain tes décisions.

Parce que ce qui va se passer si tu remets dans les mains de quelqu’un d’autre tes choix, c’est que tu vas vivre la vie de quelqu’un d’autre et qu’à un moment donné, tu vas te lever un m​​atin et tu ne vas pas te reconnaître dans la glace, tu ne vas pas te reconnaître dans tes émotions, dans la vie que tu auras choisie, tu seras complètement à côté de tes pompes. 

Tu vas dire mais attends… Pourquoi je vis cette vie-là en fait ? Ça ne me plaît pas. Et c’est tellement difficile de faire marche arrière. 

Quand tu commences à faire des petits choix comme par exemple décider de faire des légumes à dîner parce que tu en as envie. Tu vas affronter le fait que peut-être tes enfants seront déçus, ils vont râler. C’est sûr, il y a des inconvénients. Mais de petits choix en petits choix, tu vas être capable de prendre des grandes décisions. 

9. Savoir dépasser les échecs et avoir confiance dans sa capacité à rebondir. 

On pourrait aussi faire le lien avec la résilience, c’est-à-dire que quoi qu’il arrive, même si tu passes pour une pétasse, pour une nulle, pour une moins que rien, tu as tellement bossé sur ton amour de toi, sur ta confiance en toi, que ça n’a plus d’importance. Ça ne veut pas dire que ça ne te touche plus. 

Parce que moi aujourd’hui, je pense pouvoir dire que j’ai tellement accompli mes projets et mes rêves que j’ai dit pendant le séjour femmes louves aux femmes qui participaient : “Je suis arrivé à un moment dans ma vie où je n’ai plus besoin que vous me validiez. Parce qu’en fait mes rêves je les accomplis pour moi.” Je n’ai plus besoin de cette validation extérieure. Parce qu’en fait aujourd’hui, quoi qu’il se passe, je sais que je vais pouvoir rebondir. Et ça m’a demandé du travail de faire ça, d’en arriver là. 

J’ai une théorie qui s’appelle la théorie des M&M’s. Imagine un paquet de M&M’s, tu le renverses sur la table, il y a des jaunes, des bleus, des verts, des marrons, des rouges, etc. Et la vie, c’est comme un paquet de M&M’s. Les rouges correspondent aux gens tu ne pourras pas leur revenir, ta tête leur reviendra jamais et ce sera épidermique. Les jaunes, ce sera neutre. Les verts, c’est wow ! Avec cette personne, le feeling passe tout de suite. 

Et tu sais très bien qu’à toi aussi ça t’arrive, tu vas à une soirée, tu connais personne, il y a des gens avec qui le contact passe hyper facilement, il y a des gens avec qui tu n’as pas trop d’affinités. Et puis il y a une nana ou un gars dans la soirée qui… À chaque fois que cette personne prend la parole, ça te hérisse le poil, tu ne sais peut-être même pas pourquoi.

Nous aussi on représente ça pour certaines personnes. Et c’est complètement OK, parce que ce n’est pas du jugement malveillant, il n’y a pas forcément d’intention de blesser derrière, on ne peut pas plaire à tout le monde. Ce n’est pas possible. 

10. Aller tisser des relations saines. 

En avoir rien à foutre du regard des autres, une fois qu’on a bâti l’amour, la confiance, l’estime, la vision positive de soi, on est capable d’aller choisir des relations dans lesquelles on se sent respectés, dans lesquelles on se sent aimés pour qui on est, pour notre véritable nature, pas pour la personne qu’on fait croire qu’on est. Et ça renforce la spirale vertueuse parce qu’on est dans des relations positives dans lesquelles on peut encore plus s’autoriser à être soi-même. 

Et puis quand quelqu’un nous fait un feedback qui peut nous blesser, il sera fait avec une bonne intention, dans l’intention de faire grandir la relation. Et donc ça aura moins d’importance, ça prendra moins d’ampleur. 

Quand on a travaillé sur toutes ces étapes précédentes, on tisse des liens sains, on sort des relations toxiques. Et ça aide encore plus à s’en foutre de ce qu’on pense de nous parce qu’au pire on sait que ça vient d’une personne avec qui on n’a aucune affinité ou pour qui ça n’a pas d’importance et ça permet de prendre de la distance. 

11. [Spécial entrepreneurs] Oser se montrer de plus en plus telle que l’on est vraiment 

Ça nous demande d’affirmer nos positionnements, nos opinions, nos valeurs, nos limites, etc. Et plus on va le faire, plus on va être clivante dans la manière dont on va être perçue mais en même temps c’est ce qui va nous permettre d’aller travailler avec les personnes avec qui on va vibrer, qu’on va vraiment pouvoir aider, on va pouvoir mettre en place des collaborations de cœur. Et ça c’est extraordinaire. 

12. Être prête à devenir l’héroïne de votre propre vie

Quand tu acceptes qu’il y a deux faces à une pièce, que quand tu veux vraiment t’accomplir, oser avancer, faire des nouveaux projets, t’investir dans des nouvelles relations qu’elles soient professionnelles, amicales, tu acceptes que tu vas plaire à certaines personnes et déplaire à d’autres. 

Il y aura toujours des critiques, il y aura toujours quelqu’un qui aura quelque chose à dire. Et ce n’est pas grave parce que tu seras l’héroïne de ta propre vie, tu seras parfaitement aligné, tu te sentiras bien dans tes pompes et tu seras capable d’accueillir les moments où tu vas te sentir fragile.

Parce qu’évidemment il faut que ce soit clair dans votre tête, quand on s’en fout du regard des autres, ce n’est pas que ça nous blesse plus mais on peut avancer malgré ça et continuer à s’accomplir. Quand on commence à s’en foutre du regard des autres, on n’a pas plus d’émotion ni plus d’inconfort, mais on est capable de faire avec, on est capable de traverser, on est capable de dépasser cet inconfort pour continuer à être pleinement soi-même et s’accomplir. 

13. Exercice pratique 

Il est l’heure de faire un petit exercice et de passer au concret. J’aimerais que tu prennes un carnet et que dans ton quotidien, tu puisses noter à chaque fois que ta peur du regard des autres s’active.

Qu’est-ce que ça t’empêche de faire ? Et tu vas voir que c’est parfois en pilote automatique où tu es dans la fuite, où tu évites le conflit. 

Tu notes dans ton quotidien toutes les situations, tu notes les pensées qui sont associées à ces situations. Puis tu vas regarder, tu vas attendre quelques jours, et te demander “Ok, laquelle de ces situations je vais oser en premier ?”

Essaye de noter le niveau de difficulté de 1 à 10. Puis, commences par prendre des actions 1, 2, 3. Essaye de regarder comment tu peux les mettre en place dans ton quotidien. Si c’est trop dur que tu n’as que des choses qui sont à des niveaux au-dessus de 5, 6 jusqu’à 10, essaye de les décomposer en petites actions. 

Par exemple, si prendre la parole en réunion pour dire que tu n’es pas d’accord, c’est un niveau de difficulté 10, en termes d’affirmation de soi, commence par dire bonjour à la pause-café, difficulté 1 ou 2. 

Je te laisse réfléchir à ça, à mettre en application et surtout, n’hésite pas à venir me dire en privé en DM sur Instagram ou à laisser un commentaire si cet exercice t’a été utile. 

14. Visualisation d’ancrage

Maintenant je te propose une visualisation express à écouter directement dans l’épisode à partir de la minute 27:10. 

Maintenant, ce que je t’invite à faire, c’est à te poser avec tout ça, à prendre conscience que tout le savoir qui n’est pas suivi d’une action ne sert à rien. Si tu es prête à passer à l’action, et bien sache que mon programme Libre et Confiante ressort pour sa version 2.0 et en ce moment tu bénéficies du tarif de prévente et c’est une énorme réduction. Son prix augmentera quand les vidéos sortiront officiellement au mois de septembre. C’est un programme à faire en toute autonomie pour gagner en confiance en soi s’en foutre du regard des autres, sans passer par la casse thérapie

Tu accèdes à plus de 60 vidéos d’enseignement, 11 planches d’exercices concret implémentés dans ton quotidien et 11 hypnoses guidées. Dans ce programme, je vais te guider pas à pas pour dépasser tes peurs et commencer à passer à l’action même si tu n’as pas encore 100% confiance en toi

Tu auras aussi des exercices concrets à faire et des outils pour traquer tes progrès. Et évidemment, il y aura aussi des moments de célébration parce qu’il n’y a pas de petite victoire, elles comptent toutes. 

Ce programme est sous format de module d’enseignement vidéo, ça veut dire que tu avances à ton rythme. Tu vas passer plusieurs heures avec moi en vidéos préenregistrées et surtout tu auras des mises en action pour implémenter tous les enseignements que je t’aurai transmis. Il y aura des hypnoses pour intégrer en profondeur tous ces changements. C’est vraiment une méthode unique que j’ai créée qui allie exercice concret, autohypnose et enseignement. Tu vas tomber dans une spirale vertueuse pour améliorer ta confiance en toi.

Ce programme s’adresse aux personnes qui en ont marre de passer à côté de leur vie, de se faire marcher sur les pieds, qui ont l’ambition de se lancer dans de nouveaux projets mais qui sont bloqués par leur manque de confiance en soi. Ça s’adresse aux personnes qui veulent s’affirmer pour de vrai et qui sont prêtes à passer à l’action pour devenir cette personne qu’elles rêvent d’être depuis toujours. 

Par contre attention, ça ne s’adresse pas aux personnes qui souffrent d’une pathologie mentale sévère non stabilisée, typiquement dépression majeure avec un traitement lourd qui n’est pas stabilisé, ce n’est pas le moment. Parce que bien évidemment, ce programme-là ne remplace pas une thérapie, mais ça te un raccourci de malade. 

Ça va bouleverser tes relations, tes ambitions et la manière dont tu te vois et j’espère bien avoir un impact dans ta vie de tous les jours pour que tu puisses te sentir plus ancrée, plus solide et en même temps plus légère d’avancer. 

Je te laisse profiter de l’offre de prélancement, tu retrouves toutes les infos ici : https://bit.ly/3O8H8x5 

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Moi, c’est Betty

Je suis psychologue hypnothérapeute diplômée. Depuis 13 ans, j’ai accompagné des milliers de personnes dans leur métamorphose. Je rêve que chaque femme puisse vivre libre d’être elle-même. D’oser et de grandir ensemble. Inspirées les unes par les autres.

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